Naissance à Paris.
Il entre à l’Institut national agronomique où il noue avec Alain Robbe-Grillet leur longue amitié.
Au Cabinet des Dessins du Louvre, il copie des Michel-Ange et des Tintoret. Il n’a jamais fréquenté d’école des beaux-arts.
Il est invité par Gustave Singier à exposer au Ve Salon de Mai auquel il participe régulièrement jusqu’en 1971.
Il prend part au Salon des Réalités nouvelles.
Il fait partie de l’exposition Les Mains éblouies organisée par Louis-Gabriel Clayeux à la galerie Maeght.
L’exposition...
Naissance à Paris.
Il entre à l’Institut national agronomique où il noue avec Alain Robbe-Grillet leur longue amitié.
Au Cabinet des Dessins du Louvre, il copie des Michel-Ange et des Tintoret. Il n’a jamais fréquenté d’école des beaux-arts.
Il est invité par Gustave Singier à exposer au Ve Salon de Mai auquel il participe régulièrement jusqu’en 1971.
Il prend part au Salon des Réalités nouvelles.
Il fait partie de l’exposition Les Mains éblouies organisée par Louis-Gabriel Clayeux à la galerie Maeght.
L’exposition Dufour, Trökes, Nallard se tient à la Galerie Jeanne Bucher dirigée par Jean-François Jaeger.
Il y expose à nouveau en 1952 et 1953.
Le Salon d’Octobre, auquel il participe, rend hommage à Francis Picabia. Son tableau accroché à gauche de Picabia est remarqué
par le marchand de tableaux Pierre Loeb.
Il signe un contrat d’exclusivité avec Pierre Loeb, fondateur de la Galerie Pierre.
La Galerie Pierre lui organise chaque année une exposition personnelle dans ses locaux.
Il expose à New York ainsi qu’en 1961 et 1963 chez Albert Loeb, le fils de Pierre.
Il participe à la Documenta III de Kassel (Allemagne fédérale).
A la mort de Pierre Loeb, il entre sous contrat d’exclusivité à la Galerie de l’OEil dirigée par Georges Bernier assisté par Monique Schneider-Manoury. Une exposition personnelle lui est organisée.
Il est invité par Jacques Lassaigne à exposer au pavillon français de la XXXIIe Biennale de Venise.
Georges Bernier suspend l’activité de sa galerie. C’est le commencement d’années difficiles puisqu’il n’a plus de marchand jusqu’en 1978.
Une exposition rétrospective 1958-1971 est organisée par Philippe Artias à la Maison de la culture et des loisirs de Saint-Étienne.
Il expose Peintures dessins 72 à la Galerie Armand Zerbib,
Il contribue à l’exposition collective Le rendez-vous des Amis à la galerie Fred Lanzenberg à Bruxelles.
Il expose La Vie est belle à la Galerie L’OEil 2000 à Chateauroux.
Au Centre Pompidou, Il prend part à l’exposition d’Alain Jouffroy, Guillotine et peinture ou Topino Lebrun et ses amis avec son polyptyque Holger Meins 75.
Pierre Nahon et Patrice Trigano alors associés (ils se séparent en 1978) lui demandent de participer à une exposition parallèle Neuf exemples de nouvelle peinture d’histoire à la Galerie Beaubourg.
La Galerie Beaubourg dirigée par Marianne et Pierre Nahon le représente. À la fin 1985, ils achètent à Georges Bernier le fonds Dufour, les tableaux Des Fenêtres et des miroirs de 1962 à Albert Loeb qui refuse de leur vendre "Peintures et dessins vénitiens" de 1959
Première exposition à la galerie Beaubourg: Homme et Femme et exposition de dessins à la galerie de Claire Burrus. Dans le même temps, la galerie l’OEil 2000 à Chateauroux présente les photographies ayant servi à ce travail.
Il expose ses Peintures 1979-1980 à la Galerie Beaubourg.
Puis en 1981, 1982, 1984 et 1986, la Galerie Beaubourg lui organise régulièrement des expositions personnelles.
Sous le titre Journées , il expose à la bibliothèque universitaire du Mirail à Toulouse ;
Il expose son tableau Le Pradié , 1986 à la Galerie Beaubourg.
Dans le même temps, la galerie Albert Loeb expose ses peintures de 1959 à 1962 sous le titre Le surgissement de la figure.
La galerie Jacques Barbier expose des Peintures abstraites de 1954 à 1959.
Sabine Dauré lui organise une exposition En plein dans tout - Peintures 1959-1967 à la fondation du Château de Jau (Pyrénées-Orientales).
La Galerie Sollertis à Toulouse expose son travail.
Il participe au tournage de La belle Noiseuse de Jacques Rivette en étant «la main du peintre» . La galerie Jacques Barbier Caroline Beltz lui organise une exposition ainsi que sur son stand de la Fiac au Grand Palais.
L’exposition Bernard Dufour Une rétrospective se tient à la Galerie Beaubourg.
L’exposition Bernard Dufour photographe est organisée à la galerie Colbert par la Bibliothèque nationale
Il expose la série des Portraits glacés à la galerie de France.
Il participe à l’exposition inaugurale de la Galerie Beaubourg à Vence.
Il expose ses Travaux récents au musée Denys Puech à Rodez.
A Vence, la Galerie Beaubourg présente ses Portraits de femmes .
Sous le titre La Vie est bell e, il expose à la Chartreuse Saint-Sauveur de Villefranche-de-Rouergue.
Sous le titre Postures , il expose à la Galerie Sollertis à Toulouse.
L’exposition La Vie est belle (peintures-photographies-dessins-céramiques) à la Galerie Rachlin-Lemarié Beaubourg est très mal reçue par la plupart de ses collectionneurs et de ses amis à l’exception de Jacques Henric et de Catherine Millet.
Il expose ses Clichés-verre à la Maison européenne de la photographie et Mes modèles Femmes-nues-à-l’atelier à la Galerie Rachlin-Lemarié Beaubourg.
Le musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg lui organise une exposition Rétrospective en quarante tableaux. Il est invité par Richard Leydier, l’un des commissaires de La Force de l’art au Grand Palais, à participer à cette manifestation collective.
Le musée d’Art moderne de la Ville de Paris lui consacre une salle.
Sous le titre Manipulations , son travail photographique est présenté à la Maison des arts de Cajarc.
A l’automne, Patrice Trigano lui rend visite dans son atelier du Pradié et devient son marchand exclusif. Il se remet à la peinture.
Patrice Trigano l’expose à la foire internationale Tefaf à Maastricht, à Art Paris au Grand Palais puis dans sa galerie 4bis rue des Beaux-Arts à Paris. Le titre L’oeil du désir est proposé par Patrice Trigano pour le livre de Catherine Millet publié à cette occasion.